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Signez notre pétition
Depuis des mois, un climat de tension sociale entoure les projets du gouvernement Arizona. Grâce à sa pétition, la CGSLB a déjà récolté plus de 50.000 signatures reflétant la diversité de la population, recueillies aussi bien parmi les ouvriers que les employés. C’est la preuve que les travailleurs ont aussi besoin d’actions plus ciblées, tournées vers la recherche de solutions.
La CGSLB déplore l’intention du ministre wallon de l’économie Pierre-Yves Jeholet, de tendre vers la privatisation des cellules de reconversion. L’annonce est d’autant plus étonnante que les fermetures d’entreprise augmentent. Il ne faut pas priver les travailleurs wallons d’un outil qui fonctionne et qui permet à de nombreux Wallons victimes d’un licenciement collectif de retrouver un emploi pérenne.
Les organisations syndicales CGSLB et SLFP ont découvert avec étonnement la proposition de loi de Vincent Van Quickenborne et Alexia Bertrand (Open Vld) visant à taxer la prime syndicale. « Cette mesure est incompréhensible, surtout de la part d’un parti qui s’est toujours opposé à de nouvelles taxes », réagissent Gert Truyens, Président national de la CGSLB, et Patrick Roijens, Président du SLFP.
La réforme de la réglementation du chômage envisagée par le gouvernement Arizona est fondamentale. Il ne s’agit pas de simples ajustements à la marge. C’est pourquoi il est important de prendre – et d’obtenir – le temps nécessaire… du temps pour évaluer et éviter les effets indésirables et illogiques de cette réforme, notamment par souci pour nos demandeurs d’emploi et nos travailleurs.
Chaque jour, des dizaines de milliers de travailleuses et travailleurs du secteur Non-Marchand s’activent pour la santé, le bien-être et la qualité de vie des autres. À la CGSLB, nous avons un lien particulier avec ce secteur. Non seulement parce qu’il est vaste et essentiel, mais surtout parce qu’il est unique dans son organisation – et dans les défis que rencontrent quotidiennement les travailleuses et travailleurs.
Le Syndicat libéral, a sondé ses délégué.e.s dans 122 entreprises bruxelloises issues de 26 secteurs différents pour mieux comprendre la réalité du terrain. Les résultats confirment ce que nos représentants observent chaque jour : notre présence est la garante du maintien de la qualité des emplois mais il reste encore beaucoup à faire dans ce domaine pour les travailleurs et travailleuses bruxellois.e.s.